Mesure de vitesse avec un codeur incrémental

Bonjour,
Je souhaite mesurer la vitesse de rotation d'un moteur sur lequel il y a un codeur incrémental HEDS 5540 (3 canaux, 500 impulsions par tour) à l'aide de LabView 8.6 et d'un banc NI cDAQ-9172.
J'ai câblé les fils de mon codeur sur une carte NI9401.
Avec l'assistant DAQ, j'ai fait Acquérir des signaux -> Entrée numérique -> Entrée de ligne et j'ai sélectionné : cDAQ1Mod1/port0/line0 à 3.
Sur ma face-avant j'ai 3 leds (voie A, voie B et voie I) qui s'allument ou s'éteignent en fonction de la rotation de l'arbre du moteur.
Ma question est : comment mesurer (ou calculer) la vitesse de rotation de l'arbre ?
Codeur HEDS 5540 : datasheet et data sheet 2
Mezrci d'avance !

tu as répondu à ce post dans celui-ci
Temps entre 2 changements d'états
non ??
Luc Desruelle | Voir mon profil | LabVIEW Code & blog
Co-auteur livre LabVIEW : Programmation et applications
CLA : Certified LabVIEW Architect / Certifié Architecte LabVIEW
CLD : Certified LabVIEW Developer / Certifié Développeur LabVIEW

Similar Messages

Synchronisation de l'acquisition de signaux analogique par un codeur incrémental

Bonjour,
Pour mon stage, je dois réaliser un VI par le biais de LabVIEW. Ce VI sera utilisé dans de le cadre de la caractérisation de moteur électrique.
J'ai à ma disposition un cDAQ-9174 avec 2 modules qui sont : 9215 pour les signaux analogiques et 9411 pour les signaux numériques.
On me demande de faire l'acquisition de signaux analogique comme un capteur de couple, une sonde à effet hall, ... en fonction de la position angulaire du moteur. Pour déterminer cette dernière, j'ai un codeur incrémental avec une résolution de 5000 point sachant qu'il possède une voie A, B et un index de position.
Pour le moment, je suis parvenu à réaliser un projet permettant de mettre la position angulaire et la valeur de la tension du capteur dans un tableau pour chaque position différente. Je rencontre un problème qui est que je n'ai aucun contrôle sur l'échantillonnage. En effet, je n'ai pas un pas angulaire constant. Si l'utilisateur fait tourner le moteur très lentement, on arrive à avoir un échantillon tous les 0.018°, mais s'il tourne à une vitesse d'environ 15s/tour, il se peut que l'on ait des échantillons tous les degrés.
J'aimerai faire une acquisition de mes signaux analogiques à chaque nouveaux angles avec une résolution angulaire choisit par l'utilisateur.
J'ai mis une pièce jointe montant mon VI réalisé.
En vous remerciant par avance
Cordialement
Pièces jointes :
VI.jpg ‏135 KB

Je n'ai pas beaucoup de temps en ce moment pour entrer dans tous les détails mais le principe consiste à utiliser le codeur pour déclencher les acquisitions de manière matérielle.
Cela revient à dire qu'un échantillon de chaque signal AI et un échantillon de position est lu à chaque changement d'état de ce signal de déclenchement.
Dans les exemples s'installant avec LabVIEW, vous trouverez des VIs montrant comment procéder pour une acquisition déclenchée par un signal externe.
Si la résolution de 5000 impulsions/tour du codeur est suffisante, il vous suffit d'utiliser le signal A (ou B) du codeur en l'adaptant si nécessaire pour les niveaux TTL de la NI-9215. En utilisant un LS7184 configuré en mode X4, cette résolution pourrait être facilement multipliée par 4 en ajoutant de plus un filtrage hardware pour éliminer les éventuels parasites sur les signaux.
C'est un principe que j'applique fréquemment avec les cartes DAQ multifonctions PCI. Il faudrait toutefois encore vérifier que le déclenchement externe est supporté par les deux modules que vous utilisez; vérification que je n'ai pas le temps de faire.

Problème acquisition codeur incrémental

Bonjour,
Nous sommes actuellement en train de réaliser un projet d'asservissement numérique de position d'un moteur MCC.
Nous avons deux soucis majeurs sur notre programme:
- Afin de mettre le moteur en marche, il nous faut appuyer sur 'Enable drive' et activer 'Ordre moteur' jusqu'ici tout va bien mais en plus de cela nous sommes obligé d'appuyer sur le bouton 'Stop' et cela n'est pas normal.
- Nous avons 3 voyants nous donnant la position (codeur phase A, B et Z). A vitesse élevée du moteur, le programme temps réel n'arrive pas à suivre et donc les voyants ne s'allument pas au bon moment. Le problème c'est que même à vitesse très réduite (en tournant le moteur manuellement) nous avons exactement le même souci.
Comment pouvons nous remédier à ces problèmes ?
Nous avons essayer au préalable de regarder les exemples disponibles sur Labview mais pas de réponses à nos questions.
Matériel utilisé:
- Labview 2011
- Module cRIO NI 9075
- DC Brushed Servo Drive NI 9505
- Codeur incrémental HEDS-5540 A13
Ci-joint vous trouverez le projet réalisé.
Cordialement,
Pièces jointes :
essai2.lvproj ‏61 KB

Bonjour fredou29,
Merci d'avoir posté sur le forum de NI.
En tout premier lieu, le .lvproj "n'est qu'un" fichier xml qui décrit votre projet LabVIEW que vous êtes en train de créer. Du coup il n'y a pas de source. N'hésitez pas à faire un zip de tout votre projet afin que la communauté puisse vous venir en aide .
Bonne journée
Flo
Open Diagram First

Comptage impulsion codeur incrémental

Bonjour,
Je vous explique mon application:
Je souhaite compter le nb d'impulsion d'un codeur incrémental de la marque BAUMER afin d'en déduire un signal 0-10V proportionnel à la vitesse d'un moteur.
Données techniques:
Codeur incrémental 1024 Pts/tour
Sortie TTL 0-5V
Vitesse max 60tr/min donc fmax= 1024Hz
Matériels utilisés:
NI cDAQ 9174
Carte de comptage NI 9421
Carte sorties analogiques NI 9263
Labview 2011 11.0
Problèmes rencontrés:
Sur ma face du programme Labview j'ai mis un graphe en sortie du bloc fonction DAQ ou je souhaite mesurer la fréquence des impulsions du codeur afin d'en déduire la vitesse. Quand je lance l'application et tourne le codeur je n'obtiens rien du tout.....
La led "Active" du NI DAQ ne s'allume pas est-ce un problème? La led de ma voie de comptage ne s'allume pas non plus.
J'ai pensé à un problème de câblage, j'ai donc branché directement en sortie du codeur un voltmètre. En tournant doucement le codeur je vois bien la sortie passer successivement de 0V à 5V.
Je vous joins des photos de mon banc, le bout de programme et le schéma de câblage.
J'espère que quelqu'un pourra m'apporter une aide...
Merci par avance
Christophe
Pièces jointes :
Comptage_codeur_incremental.zip ‏1983 KB

bonjour,
normalement la led active de la carte d'acquisition doit être allumé en fonctionnement. utiliser MAX pour vérifier si votre carte est bien détecté.
ensuite vous pouvez avoir un problème de cablage si les fils sont serré sur la gaine et non sur les brins (coté matériel
NI).
Les assistant DAQ sont pratique pour ceux qui débute, mais pas toujours pratique. essayé de les évité aux maximum. il faut connecté le nom du périphérique en entrée de votre assistant. n'hésité pas à utiliser la sortie d'erreur qui vous permettra de débugger votre soft et de demander du support technique.
Cordialement
L.MICOU

Affichage de la vitesse avec le signal d'un anémomètre

Bonjour à tous je suis débutant dans LabView et j ai besoin d'aide car je n arrive pas à transformer mon signal en chiffre numérique proportionnel à mon signal pour avoir la vitesse du vent.
j ai réalisé mon shéma entier avec mon anémomètre ma carte N.I Carte 6211 et je l ai connecté grace à un cable USB à l ordinateur de base j ai reussi a afficher mon signal sur un graph avec l assistant DAQ et recupere mon signal (pièces jointes-schéma bassique).
Maintenant je dois utiliser le signal pour le transformer en chiffre numérique proportionnel à mon signal pour avoir la vitesse du vent.
Pièces jointes :
Programme version 1.vi ‏54 KB

Bonjour,
Tout d'abord je tiens à vous faire remarquer que nous vous apportons de l'aide bénévolement. Le "et vite" me semble donc malvenu... Quoiqu'il en soit, si votre but est juste de récupérer la valeur numérique en sortie de votre tâche DAQmx vous avez 2 solutions déjà données ci-dessus :
Utiliser le VI "Convertir des données dynamiques" pour obtenir un tableau, image des vos mesures
Créer une tâches DAQmx et effectuer une lecture des échantillons à l'aide du VI "DAQmx - Lire"
Je vous invite à prendre une bonne demi heure pour faire plusieurs essais et bien comprendre le fonctionnement de l'acquisition via carte DAQ.
Pour le traitement des données ensuite, la majorité des outils nécessaires au calcul sont présents dans les palettes "Numérique" ou "Comparaison".
Maxime
Certified LabVIEW Associate Developper

Mise en place mesure table kistler avec ampli de charges

Bonjour,
je suis actuellement sur un projet au sein de mon entreprise, et je dois mettre en place de nombreux capteurs notamment une table kistler de mesure de force tridimensionnelle, avec un amplificateur de charges 5017B kistler. L'amplificateur peut se piloter par liaison Rs232, mais je n'ai pas idée de comment le piloter et oû trouver les drivers de celui-ci?
De plus pour l'acquisition de mes mesures, je dispose d'un chassis compacDAQ 4 position, et est-il possible d'effectuer un déclenchement par une voie extérieur?
merci

Bonjour,
Vous pouvez déclencher sur une voie extérieure à condition d'avoir un module le permettant dans votre chassis. Par exemple, un module d'entrée sortie numérique si vous voulez déclencher sur une voie numérique.
Cordialement,
Charlotte F. | CLAD
National Instruments France
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>> "Du 11 octobre au 17 novembre, 2 sessions en parallèle : bien démarrer - approfondir vos connais...

Envoyer signal quand codeur à une certaine position

Bonjour,
Je travaille actuellement sur un projet avec un moteur, piloté par Labview, j'ai réalisé un programme qui fonctionne très bien.
Ce moteur dispose d'un codeur incrémental. Je veux, à l'aide de ce codeur, envoyer un signal à un shutter, pour que celui ci s'ouvre 1 fois par cycle (exemple à chaque fois qu'il passe à la position x).
Je dispose d'une carte PCI-6320e. A l'aide des exemplles, je parviens à lire une position, ça va de 0 à n à chaque tour de boucle (n varie en fonction de la vitesse de rotation de mon moteur), mais je sais qu'à chaque tour je passe par un pseudo 0 (la valeur n'est pas forcément lue, puisque j'ai un timer, relatif à la commande de mon moteur.
Comment puis-je faire pour dire "quand tu es à la valeur x"?
Je ne sais pas si c'est très clair, mais en tout cas c'est assez urgent.
Merci d'avance.

merci pour cette réponse, mais le problème est que j'ai un timer, lié à l'utilisation de mon moteur, et je ne lis donc pas toutes les valeurs, donc si je fixe ma consigne à 0, mais que ça tombe un tour où le 0 n'est pas lu par exemple, le signal ne sera pas envoyé.
en fait mon problème est comment à partir de la courbe par exemple, ou du tableau, quand je repars à 0 (mais pas forcément exactement à 0 donc), dire que le signal peut être envoyé (sans qu'il y ait trop de décalage d'un tour à l'autre)

Déclenchement mesure sur entrée de comptage

Bonjour,
j'ai besoin de faire l'acquisition de deux valeurs analogiques cadencées sur une entrée de comptage avec une carte 6220 sous .net (VB ou c#)
Un codeur incrémental me donne des impulsions et toutes les x impulsions je veux acquérir les deux valeurs. Le système est lent (fréquence d'acquisition 8hz, mais je voudrais pouvoir monter à 80Hz).
J'ai bien vu un exemple permettant de trigger l'acquisition d'une valeur analogique à partir d'un top sur une entrée digitale, mais là je voudrais pouvoir synchroniser sur une entrée de comptage.
Merci d'avance

Bonjour,
Vous pouvez synchroniser votre acquisition analogique sur la sortie de votre compteur, en l'utilisant comme horloge de cadencement externe. Ainsi, votre compteur va compter vos x impulsions et vous allez générer un front toutes les x impulsions DAQmxCreateCOPulseChanTicks. Cette fonction vous renverra un tick dès que vous souhaitez faire votre acquisition analogique.
Cordialement
David S.| Certified LabVIEW Associate Developer
National Instruments France
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Journées Techniques LabVIEW 2012 : du 27 septembre au 22 novembre
2 sessions en parallèle : Débuter a...

Peut on mettre une carte sim d un autre pays, puet on mettre une carte sim d un autre pays

peut on mettre carte sim belge dans un iphone acheter en france

Bonjour,
Il est possible de mesurer une position ou une vitesse à partir d'un codeur incrémental à partir de deux méthodes. Soit en utilisant la fonction entrée compteur>>compter les fronts ou bien en utilisant la fonction entrée compteur>>codeur angulaire sous LV 8.20. Tout dépend de votre matériel est des signaux générés par votre codeur.
Je voudrais tout d'abord savoir sous quelle forme sont vos signaux générés par votre codeur et quels sont les exemples que vous avez utilisés et qui ne fonctionnent pas avec votre matériel?
Merci.

Enregistrer des valeurs dans un tableau

Bonjour
J'utilise LabView 2011 et je souhaite enregistrer les valeurs que me retourne mon codeur incrémental dans un tableau, qui ensuite les affiche sur un graphe.
Comme ca ne marchait pas, je me suis aidé de l'aide labview :
J'ai donc défini une taille fixe pour tout les tableaux, et également coché "Pré-allouer les tableaux et chaines automatiquement".
Cependant ça m'affiche encore comme erreur que mes fils et tableaux doivent être de taille fixe dans la cible actuelle.
Pourriez-vous m'aider svp ?
Merci beaucoup

Bonjour
Effectivement la cible est le compactRIO 9075.
En fait ce que je veux faire, c'est enregistrer le signal du codeur, uniquement lorsque la position du moteur varie.
C'est-à-dire que je voudrais voir tous les signaux que lorsqu'ils varient, puis que l'enregistrement s'arrête quand il n'y a plus de variations.
Le VI que j'ai codé est en pièce jointe.
Merci à vous.
Pièces jointes :
element3.vi ‏139 KB

Synchroniser mesure analogique, tachymètre et GPIB

Bonjour,
J'ai une carte PCI-6289 que je voudrais programmer avec Labview 8.2 / DAQMX.
Sur cette carte je voudrais faire une acquisition bufferisée de mesures analogiques et d'un signal TTL issu d'un tachymètre (mesure de vitesse) en même temps.
Est-il possible de réaliser cette fonction avec cette carte et si oui existe des exemples ?
En plus du mode cité ci-dessus j'ai un autre mode de mesure où il est question de mesurer de façon synchrone :
- Mesure analogique sur carte PCI-6289,
- Mesure tachymètre sur carte PCI-6289,
- Mesure GPIB issu d'un analyseur de puissance.
Ces mesures doivent se faire à 1 Hz
Le vendeur de l'analyseur de puissance m'a indiqué que l'appareil disposait d'une entrée Trigger.
Quel est le meilleur moyen pour synchroniser tous ces équipements ?
D'avance, merci pour votre aide.
CAPRA

Bonjour,
Merci pour votre réponse.
Le Tachymètre génére vraisemblablement une fréquence que je dois convertir en vitesse.
J'ai vérifié dans max en créant une tache DaqMX s'il m'étais possible de "Triger" la mesure (voir copie d'écran en PJ), et helas je ne trouve rien à ce sujet.
L'autre inconnue pour moi est de savoir si je dois utiliser une horloge externe à 1 Hz ramener à la carte PCI-6289 puis à l'appareil GPIB, pour synchroniser tout le monde (Analogique/Vitesse/GPIB) ou si je dois utiliser l'horloge interne pour déjà synchroniser Analogique/Vitesse et ensuite sortir cette même horloge si elle disponible sur le SCB68 pour qu'elle soit exploitable par l'appareil GPIB...
Merci.
CAPRA
Pièces jointes :
DaqMx_Freq_Task.JPG ‏46 KB

Problème sauvegarde incrémentielle catalogue PSE7

Bonjour,
J'ai un problème lors de la sauvegarde incrémentielle de mon catalogue PSE7 sous Wind7 (idem avec XP ou Vista)
1) Après avoir effectué une première sauvegarde complète de mon catalogue sur mon HDD (H:\) j'obtiens à la suite de mes photos 2 fichiers 'Backup.tly et Catal.buc', c'est normal.
2) Je modifie mon catalogue puis je veux faire une sauvegarde incrémentielle alors je fais ceci:
Clique successivement sur 'Fichier', Sauv catal, coche sauv incrément, suivant, je sélect (H:\), à la rubrique: 'Chemim sauv...' parcourir je sélect (H:\) puis à la rubrique: 'Fichier sauv précédente'... parcourir je sélect le fichier 'Backup.tly' créé lors de ma sauv complète et là je reçois le message: "Vous ne pouvez pas indiquer l'emplacement de la sauv précédente pour la nouvelle sauv"!!!
Je n'arrive donc pas à réussir la sauvegarde incrémentielle de mon catalogue modifié.
Merci d'avance pour votre aide.
PapyGribouille

Bonjour,
Je suis sous PSE8 et j'ai le même soucis.
J'ai fait une sauvegarde complète sur un disque réseau.
Mon catalogue a vécu et je veux réaliser une sauvegarde incrémentale du catalogue.
PSE8 me propose un dossier par défaut et refuse que j'en spécifie un autre exactement comme pour PapyGribouille
Ci-dessous la séquence:
1 Choix de sauvegarde incrémentale
2 Traitement PSE :
Calcul de la taille du catalogue ???? pourquoi
3 Information de PSE8
Il a bien vu une sauvegarde incrémentale et propose que JE choisisse un dossier cible pour charger la précédente sauvegarde
4 Je navigue jusqu'à ma dernière sauvegarde et je valide sur le bon dossier
5 Il propose d'effacer la sauvegarde totale réalisée précedemment
Là, pour moi, ça devient dur à comprendre .
Par sécurité je clique sur non, dans ce cas je reviens au choix du dossier.
Alors je clique sur OUI
6 Visiblement je dois cliquer sur parcourir dans la seconde case pour choisir une sauvegarde précédente
7 Choix de la sauvegarde précédente
Cette demande de sélection de fichier me semble logique pour une sauvegarde incrémentielle.
Mais que PSE8 cherche dans son dossier d'installation est pour le moins bizarre.
Il veut un fichier .tly, pourquoi pas ?
8 Ma sauvegarde étant ailleurs je sélectionne mon dossier
Pour trouver sur backup.tly, j'ai du développer le dossier SauvegardeCatalogue (C'est très probablement un dossier compressé qui a été créé par PSE8).
Question complémentaire, si la sauvegarde précédente est dans un dossier compréssé pourquoi ne pas en chercher un ?
9 Après avoir clique sur OK on aboutit au fond de l'impasse :
10 Contenu du dossier
Le dossier de Sauvegarde contient 1000+ fichiers
Dont le fameux backup.tly dont voici les propriétés
La question reste entière :
Comment doit on procéder pour réaliser une sauvegarde incrémentielle ?
D'avance merci de vos réponses
Nota: les captures ont été réalisées avec IrfanView. Excellent produit pour, entre autres, illustrer des documentations.

Electrochoc : la prochaine suite d'Adobe en location obligatoire !!!

Bonjour,
J'étais un heureux client et utilisateur des outis Adobe depuis de nombreuses années. Comme pour beaucoup d'entre nous, ces outils sont devenus indispensables et il est difficielement imaginable de s'en passer ou basculer sur une inexistante concurrence.
Je ne suis pas de nature sensible mais j'ai été particulièrement choqué quand j'ai appris qu'Adobe allait rendre obligatoire la location de ses logiciels lors de la prochaine mise à jour de leurs suites logicielles.
Ce qui a également ajouté à ma stupéfaction, c'est aussi de constater que très peu d'utilisateurs ont manifesté leurs inquiétudes après cette annonce abhérente.
Sous couvert d'avantages exceptionnels et de modernité, le terme cloud vient de dévoiler ici son côté le plus pervers puisqu'il débouche sur une stratégie commerciale particulièrement anti-démocratique, alors que l'univers numérique prône depuis toujours la liberté et de progrès.
En effet, il est clair que ceux qui ne pourront plus payer à un moment seront immédiatement privé de leur outil de travail. Par ailleurs, une fois que tout le monde aura souscrit à cette offre, chacun sera devenu totalement captif, sans retour en arrière possible et Adobe pourra pratiquer les tarifs souhaitera sans que les utilisateurs aient leur mot à dire.
Et comment pourrait-on résister quand on sait que les nouvelles suites rendent très vite obsolètes les anciens fichiers, que les versions antérieures finissent par ne plus être compatibles avec les nouveaux OS, et que les matériels ont une durée de vie moyenne de trois ans (dans le meilleur des cas) ?
ll est clair qu'une telle stratégie de captivité d'une clientèle ne peut être mise en place que par un éditeur tout puissant, monopolistique et égémonique, à l'instar de Quark qui, à son époque, affichait un total mépris de sa clientèle et s'est précipité inexorablement dans le gouffre, et avec le dumping d'Adobe inDesign, dont les premières versions étaient alors... offertes !
Si les utilisateurs ne manifestent pas en nombre leur réprobation, cette forme de vente abusive va se généraliser et on va assister à une vraie popérisation des utilisateurs qui ne pourront pas garantir la rentabilité de cette engagement à vie (professionnelle).
Comme il faut positiver, on peut imaginer que ça fera le bonheur des petits éditeurs qui pourront enfin attirer une nouvelle clientèle rejetée par Adobe, comme ceux, par exemple, qui renoncent à Edge Animate pour aller voir du côté de Tumult Hype, si prometeur.
En attendant, j'avoue être un peu désespéré car je sais bien que cette petite bouteille à la mer n'aboutira pas sur un "printemps Adobe" !
Merci à tous.

Imaginons un indépendant qui cesse son activité, il lui est possible de ne s'abonner pour un mois s'il a besoin de retoucher un document, alors qu'il aurait pu le faire gratuitement s'il avait une version CS. Mais qu'en est-il s'il a attendu un an ou deux, son ancien programme Adobe est-il toujours compatible avec le système d'exploitation deson nouvel ordinateur? De nouveau, on ne peut comparer aisément car tous les cas de figures sont uniques!
Le grand dilemme restant de savoir s'il est viable ou pas de louer ses outils de travail. Les personnes les plus touchées restent les petits indépendants, ou les amateurs, mais aussi, ils ont le choix des abonnements au mois, et les versions CS continent bel et bien à fonctionner -et des correctifs pour CS6 continuent de sortir-.
Aussi, d'autres ont souligné le fait que certains ne mettaient à jour que toutes les 3 versions, soit environ tous les 5 ans si on se base sur l'ancien rythme. Vous rendez-vous dans un magasin et vous déclarez-vous client fidèle de celui-ci si vous n'y avez plus mis les pieds depuis tant de temps?
–> C'est ici le vrai débat sur la marche en avant imposées par les géants de l'informatiques qui jongle sur le duo commercial imparable : obsolescence matérielle et technologies imposées (+ propriétaires).
si les clients n'opéraient de mises à jour que tous les trois ans, c'est bien que leurs besoins étaient largement comblés durant cette période ! Et à quel titre leur enlever ce droit bien légitime ? Côté Adobe, il faut aussi relever la faiblesses de leurs innovations durant les dernières mises à jour des dernières CS, ce qui justifiait encore plus le ralentissement des mises à jour.
Aussi, il est clair, et Adobe le sait, qu'une piste doit être explorée concernant une solution spécifique pour les Photographes. Il existe une version single app du Creative Cloud, amsi Photoshop seul n'est peut-être pas suffisant Des discussions ont été lancées par des personnes très influentes auprès d'Adobe:http://www.luminous-landscape.com/forum/index.php?topic=78240.0 ethttp://kelbytv.com/thegrid/2013/05/09/the-grid-episode-95-discussing-a dobe-creative-cloud/ On m'a rapporté aussi un sondage qu'Adobe aurait fait sur le sujet.
–> Je n'aimerais pas devoir aujourd'hui vivre de la photo. Avec l'hécatombe des professionnels qui a suivi l'avènement des banques d'images premiers prix, avoir un tel fil à la patte financier ne me rassurarerait pas !
J'ai lu aussi de bonnes argumentations "contre", notamment une question de budget, le Creative Cloud étant vu par certains uniquement rentable à terme pour ceux qui utilisaient auparavant la Master Collection. C'est un calcul difficile à effectuer, car certains font le calcul en se basant sur le rythme des sorties Creative Suite de 24 mois, d'autres de 18, alors qu'Adobe était passé à des sorties annuelles lors de CS 5.5 et CS6. Le calcul n'est pas en faveur des versions seules, on pourrait dire que le montant est très petit, moins qu'un croissant par jour, mais si on imagine payer tous ces programmes de la sorte, le prix serait élevé.
D'un autre côté, le coût d'entrée n'est plus que celui d'un mois d'abonnement là où, auparavant, il fallait payer une suite d'un coup.
–> Adobe a toujours proposé ses applications en achat à l'unité à un prix disproportionné pour favoriser la vente de ses suites alors que beaucoup d'utilisateurs n'auraient eu besoin que de quelques outils, comme les illustrateurs par exemple, pour qui Photoshop et Illustratior sont largement suffisant. Mais dans leur cas, la réponse CC n'est pas plus adaptée dans la mesure ou la régularité d'une location se calque mal sur une irrégularité des rentrées financières.
Le problème de la comparaison CS/CC sur une période de temps, c'est nier tous les programmes disponibles en plus de la suite (Muse, toute la Suite Edge, Lightroom, InCopy...) les ouvertures vers de nouveaux champs de création, surtout avec les programmes plus faciles de création de sites web, ou les possibilités de produire des éditions digitales pour iPad/iPhone, la valeur des fontes disponibles pour le web, mais aussi sur le bureau, l'espace de stockage, les nombreux cours disponibles dans l'onglet formation, les 5 sites Business Catalyst, et le fait qu'Adobe ne cesse d'ajouter des programmes (si certains l'accuseront de rendre plus difficile la comparaison, les abonnés y voient de la valeur ajoutée.) Aussi, comparer CS par rapport à CC, sur une période donnée, c'est oublier tous les nouvelles versions des programmes directement disponibles tout au long de l'abonnement.
–> On peut aussi s'interroger sur cette profusion logicielle et de services alors qu'Adobe n'est même pas parvenu à corriger les principales tares et incohérences de ces outils phares ces dernières années ?
Et cette floppée d'outils laisse entrevoir de nombreux cauchemars en terme de mises à jour qui ne seront pas forcément toutes stabilisées.
Il y a eu aussi des plaintes au niveau de l'aspect buffet garni. C'est soit une application, soit toutes. Mais la différence en prix n'est pas si importante (cela veut dire pour certains que le tarif de l'application seule est trop élevée), et insérer des offres intermédiares compliquerait fort le choix, obligerait à créer des offres de mises à jour d'une "suite" à l'autre. Lors des discussions à ce sujet, j'ai vu aussi qu'il n'y avait pas de consensus. Certains ne veulent que 5 programmes, d'autres 3 ou 7... et tous différents.
Les métiers aussi ont changé, et il n'est pas rare pour un monteur de vouloir créer lui-même un petit site pour la promotion de son court-métrage, ou pour un Photographe de vouloir explorer le monde de la vidéo, voir de publier un portfolio sous forme d'application pour appareils mobiles.
–> L'aspect découverte est indéniables et c'est peut-être le seul point réellement positif de la formule CC. Cela dit, je ne pense pas qu'on puisse s'investir dans un logiciel pour une raison ponctuelle, il requiert un temps de formation et seule, son utilisation régulière permet d'optimiser sa production.
Un des plus gros problèmes auxquels ont fait face les équipes qui ont sorti des mises à jour lors de l'année de test du Creative Cloud, qui existait en même temps que la Creative Suite, aura été de supporter deux bases de code différentes, et d'assurer une compatibilité totale entre les deux, cela a finalement été très coûteux en temps de développement, en témoignent les versions CC un peu plus "light" des programmes ayant eu une mise à jour intermédiaire l'année passée par rapport à ceux qui s'en sont passés.
Ajoutons aussi la confusion, voire la frustration des utilisateurs qui ne trouvent pas les dernières fonctions annoncées, alors qu'ils ont payé une somme importante 6 mois avant, tandis que des gens qui n'ont payé que 6 mois d'abonnement en profitent... La cohabitation CC/CS n'était pas non plus aussi bénéfique que l'on veut le penser.
–> Ce débat n'intéresse que les geeks et ceux qui s'imaginent encore une fois que les dernières nouveautés vont pallier leurs faiblesses créatives. Et il suffit de voir le résultat sur Internet, il n'y a jamais eu autant d'uniformité dans la conception de site qui sont tous structurés comme des blogs, quelle et la contribution des dernières mises à jour logicielles sur ce point ? Passé la révolution du html 5/CSS3, seul la remise en cause créative a du sens mais c'est une vertu qui n'est pas proposée en location !!!
Maintenant, pourquoi Adobe n'a pas pu offrir des mises à jour de fonctions dans les versions Creative Suite? C'est une question de lois (http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_Sarbanes-Oxley ), qui interdisent d'ajouter des fonctions après la vente, sans devoir reporter les ventes sur un autre trimestre fiscal. (imaginez si toutes les ventes d'un trimestre disparaissent, le manque à gagner, et la panique en bourse. Ici, vu que l'abonnement court d'un trimestre à l'autre, pas besoin de reporter les ventes.
Il est indéniable qu'Adobe s'assure également d'une rentrée fixe, alors qu'auparavant, il fallait absolument avoir des fonctions tape à l'œil pour stimuler les ventes des nouvelles versions, ce qui pousse certains à craindre, voire à accuser Adobe, avant qu'elle n'ait fait quoi que ce soit, de castrer les innovations futures, mais les mises à jour continuelles font mentir cela.
–> Nous sommes bien d'accord, le maître mot d'Adobe est bien entendu : rentabilité à tout prix ! Et quoi qu'il en coûte aux utilisateurs.
D'un point de vue de développement aussi, la sortie continue de mises à jour permet aux équipes de finaliser une fonction un ou deux trimestres de plus, plutôt que de devoir la reléger à une version future du programme, à cause des dates de sorties des programmes qui devaient correspondre. Aussi des versions incrémentales permettent de mieux sentir ce que les clients veulent et d'avoir une méthode de développement plus fluide, et un repositionnement plus agile face à la concurrence, notamment dans les métiers du web qui évoluent plus vite. http://blogs.adobe.com/jnack/2013/05/apples-oranges-creative-cloud-my- thoughts-on-cc.html .
–> Je ne prétends pas avoir toutes les clés mais cet argument semble extrait d'une plaquette commerciale d'Adobe. Dans quel cas de figure (un seul exemple suffira) on trouve des professionnels qui dépendent de mises à jour aussi régulières ?
Avec le temps, beaucoup finiraient par trouver obsolètes ces programmes qui évoluent par à-coups, comparés aux applications mobiles qui sont elles en évolution constante. Je crois qu'avoir des équipes de développement qui travaillent mieux est crucial pour nous, les utilisateurs.
–> "Avec le temps" ? Il faut encore m'expliquer ce que les uilsateurs perdent en deux ou trois ans de mises à jour ??? Et qui peut prétendre maîtriser de fond en comble la totalité des fonctionnalités de nos CS actuelles avant de parler de mises à jour permanentes ?
Placer en regard l'évolution des apps mobiles est un peu là aussi, un alibi commercial. Je ne nie pas que ce domaine technologique concentre l'essentiel de l'activité créative et technique en ce moment mais là encore, c'est bien l'idée de la fuite en avant qui nous est imposée par les principaux acteurs du marché. Faut-il s'en satisfaire ?
Sur cet exemple des mobiles, même si je n'y connais pas grand chose, une fois qu'il est proposé de vraies solutions pour gérer les formats écrans via les mises en page responsives (par exemple), on bascule dans un domaine de développeurs de pointe (qui n'utilisent d'ailleurs peut-être pas les outils Adobe !) et donc très loin des préoccupations de la majorité des utilisateurs.
Pour toutes ces raisons, je crois que l'abandon pur et simple du modèle Creative Cloud est une utopie.
–> "Bref, j'ai encore une long chemin à parcourir avant de rejoindre les disciples du CC
Message was edited by: PECourtejoie

Problème graphe en temps relatif

Bonjour,
J'ai crée un VI d'acquisition de tension avec un port USB NI9219 qui mesure différentes tension d'entrée à une fréquence élevée(ex : 100 Hz). De plus mon VI enregistre les mesures que lorsque la tension mesurée change de 0,01v. Le VI trace également les courbes de tension dans un graphe déroulant qui comporte tous les points enregistrés (et seulement ceux la) depuis le lancement de l'application.
C'est sur ce point que je n'arrive pas à avoir un graphe déroulant avec plusieurs courbes (4 maximum) avec une échelle des x en temps relatif. C'est à dire de t=0 (ex : minutes) jusqu'a t=fin du VI
Lorsque je met les x en temps relatif il ne me met pas de temps mais des valeurs abérantes. De plus il n'incrémente pas du temps éffectué entre 2 mesures, il incrémente le temps de 1.
(ex : on a t=5min entre 2 mesure enregistrées mais la courbe incréménte le temps de 1 sur la valeur abérante).
Avez vous des solutions pour mon problème. Merci.
Cordialement.
Solved!
Go to Solution.

Cette valeur correspond à l'heure de la mesure, 952500:36:41 correspondant à 14h36 et 41s.
Cela permet d'horodater les points plus précisément.
Si vous souhaitez recréer votre échelle de temps en X, il faudra modifier le T0 de votre courbe.
Pour cela vous allez devoir utiliser la fonction Construire une waveform permettant d’insérer votre courbe et aussi de modifier le t0, on insère cette fonction dans une boucle For afin de traiter les 4 courbes.
Au départ du VI on initialise un registre à décalage à 0 afin que nos premiers points commencent à 0, puis on devra multiplier l’horloge d’échantillonnage par le nombre de point afin de définir le t0 des tours de boucles suivants.
Cela devrait résoudre votre probléme.
Cordialement
Christophe S.
FSE East of France І Certified LabVIEW Associate Developer І National Instruments France

Pourquoi le rendu du 'sans-serif' est-il gras ?

Depuis quelques jours tous les rendus de polices 'sans-serif' et 'arial' sont en gras.
Ainsi, lorsque l'on consulte une page Wikipédia ou Google, tous les corps de texte ont une police (font) grasse (bold).
J'ai essayé avec deux nouveaux profils complètement vierges et j'ai les mêmes résultats.
Par exemple, ce champs d'insertion de texte (textarea#id_content) a un rendu de texte gras.
Bien que je sois passé de Firefox v14.0.0.1 à la mise à jour v15.0, le problème n'est pas résolu.

Indeed, When I disabled the box : "Use hardware acceleration when available". The font render was OK : No more "bold" effect.
But I don't understand that, because before 2 days, the render was OK too.
Here my Firefox information, with a screenshot :
Paramètres de base de l'application
Nom
Firefox
Version
15.0
Agent utilisateur
Mozilla/5.0 (Windows NT 6.1; WOW64; rv:15.0) Gecko/20100101 Firefox/15.0
Dossier de profil
Ouvrir le dossier correspondant
Plugins activés
about:plugins
Configuration de compilation
about:buildconfig
Rapports de plantage
about:crashes
Utilisation mémoire
about:memory
Extensions
Nom
Version
Activée
ID
Adobe Acrobat - Create PDF
1.2
false
[email protected]
Adobe Contribute Toolbar
6.1
false
{01A8CA0A-4C96-465b-A49B-65C46FAD54F9}
Skype Click to Call
6.0.0.10297
false
{82AF8DCA-6DE9-405D-BD5E-43525BDAD38A}
Préférences modifiées importantes
Nom
Valeur
browser.cache.disk.capacity
1048576
browser.cache.disk.smart_size.first_run
false
browser.cache.disk.smart_size_cached_value
593920
browser.places.smartBookmarksVersion
4
browser.startup.homepage_override.buildID
20120824154833
browser.startup.homepage_override.mstone
15.0
extensions.lastAppVersion
15.0
gfx.direct3d.prefer_10_1
true
network.cookie.prefsMigrated
true
places.history.expiration.transient_current_max_pages
104858
privacy.sanitize.migrateFx3Prefs
true
Accélération graphique
Description de la carte
NVIDIA GeForce GT 335M
ID du vendeur
0x10de
ID du périphérique
0x0caf
RAM de la carte
1024
Pilotes de la carte
nvd3dumx,nvwgf2umx,nvwgf2umx nvd3dum,nvwgf2um,nvwgf2um
Version du pilote
8.17.12.8562
Date du pilote
10-15-2011
Direct2D activé
true
DirectWrite activé
true (6.1.7601.17789)
Paramètres ClearType
Gamma: 2200 Pixel Structure: RGB ClearType Level: 100 Enhanced Contrast: 50
Rendu WebGL
Google Inc. -- ANGLE (NVIDIA GeForce GT 335M ) -- OpenGL ES 2.0 (ANGLE 1.0.0.1041)
Fenêtres avec accélération graphique
1/1 Direct3D 10
AzureBackend
direct2d
JavaScript
Ramasse-miettes incrémental
0
Versions des bibliothèques
Version minimale attendue
Version utilisée
NSPR
4.9.1
4.9.1
NSS
3.13.6.0 Basic ECC
3.13.6.0 Basic ECC
NSS Util
3.13.6.0
3.13.6.0
NSS SSL
3.13.6.0 Basic ECC
3.13.6.0 Basic ECC
NSS S/MIME
3.13.6.0 Basic ECC
3.13.6.0 Basic ECC

Mesure de vitesse avec un codeur incrémental

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